L'archéologie à l'épreuve de la géopolitique

 

En tant que discipline centrée sur l'étude des vestiges laissés par des civilisations du passé, l'archéologie semble éloignée de la géopolitique. Pourtant, dès ses balbutiements à l'époque moderne, elle fut instrumentalisée pour servir les intérêts du "Prince". Le modèle impérial Romain et son héritage ont ainsi constitué pendant des siècles une référence à imiter voire à dépasser pour les souverains européens. Cependant, la manipulation de l'archéologie à des fins géopolitiques est plus récente.

 

Effectivement, aux XIXème et XXème siècles, les nationalismes et le colonialisme l'ont utilisée pour justifier la conquête de certains territoires. De même, les références archéologiques ont alimenté les discours indépendantistes via la revendication de droits historiques et la justification du "droit des peuples à disposer d'eux-mêmes". Bien que les motifs et les formes de conflits aient évolué depuis la Seconde Guerre mondiale, l'instrumentalisation de l'archéologie sert plus que jamais des objectifs de nature géopolitique.

 

 

Une « arme » au service de revendications territoriales et idéologiques

 

 

L'histoire contemporaine regorge d'exemples d'instrumentalisation de l'archéologie à des fins géopolitiques. À cet égard, les régimes totalitaires du XXème siècle occupent une place particulière dans la manipulation de cette discipline scientifique. Dans les années 1930, à la suite de la société secrète de Thulé, le régime nazi a manifesté beaucoup d'intérêt pour les fouilles archéologiques. En réalité, pour les idéologues nazis, il s'agissait  de prouver la supériorité de la race aryenne en étudiant le passé germanique de l'Europe. Pour ce faire, le NSDAP s'est appuyé sur l'Institut archéologique allemand mais aussi sur des organismes de recherche spécifiques.

 

En 1934, Alfred Rosenberg fonde ainsi la fédération du Reich pour la Préhistoire allemande (Reichsbund für Deutsche Vorgeschichte) alors que son rival Heinrich Himmler créé en 1935 la société pour l'étude de l'histoire spirituelle de l'héritage ancestral allemand (Studiengesellschaft für Geistesurgechichte Deutsches Ahnenerbe). En fait, la recherche des traces matérielles des anciens peuples germaniques a nourri les prétentions de l'Allemagne nazie à bâtir un espace vital destiné à rassembler les populations allemandes. En ce sens, l'archéologie a alimenté un discours pangermaniste destiné à justifier la conquête de la « Mitteleuropa ».


Si l'exemple de l'instrumentalisation de l'archéologie par le nazisme est édifiant, les régimes communistes ne sont pas en reste. En Union Soviétique, l'archéologie se fait l'écho à partir des années 1930, du discours marxiste. Ainsi, les archéologues soviétiques adoptent « la vision néo-évolutionniste stadiale en cinq étapes esquissée en 1857 par Karl Marx [...] puis reprise en 1884 par Friedrich Engels avant de se figer en dogme chez les scientifiques de l’époque stalinienne » (Svetlana Gorshenina et Claude Rapin – 2011); ainsi introduisent-ils dans leurs études le concept de « mode de production asiatique ».

 

De surcroît, l'archéologie a servi les desseins du pouvoir communiste dans la volonté de moderniser le cadre de vie des nations périphériques. Les archéologues ont ainsi permis d'accroître la distinction entre chaque peuple d'Asie centrale et ont contribué à la délimitation des frontières des républiques socialistes. Enfin, la formation d'archéologues locaux a servi à faire la promotion de l'égalité de l' « homo sovieticus » face à l'éducation. Pourtant, au-delà de cette propagande, les républiques-sœurs et les archéologues autochtones se trouvaient dans une situation de dépendance coloniale vis-à-vis du pouvoir et des institutions soviétiques.

 

En mars 1974, la découverte d'une armée d'argile à Sian à proximité du tombeau de l'empereur Qin Shi Huangdi en Chine populaire, fut l'une des plus grandes découvertes archéologiques du XXème siècle. Celle-ci donna lieu à une instrumentalisation de la part du pouvoir chinois. En effet, au IIIème siècle avant J.-C, Qin Shi Huangdi mit fin à l'anarchie féodale en soumettant les  Royaumes combattants au sein d'un empire unifié. Par conséquent, en se référant au premier empereur de Chine, Mao Zedong faisait non seulement étalage de son pouvoir mais véhiculait un message à destination de Taïwan.

 

 

Le gouvernement nationaliste chinois qui s'était replié sur cette île contestait la souveraineté du PCC sur la Chine continentale. Les communistes chinois redoutaient alors que faute de pouvoir reconquérir la Chine, le Kuomintang déclare l'indépendance de Taïwan. La mobilisation de la figure historique de l'unificateur de la Chine établissait donc un parallèle entre l'édification de l'empire Qin et la volonté de mettre au pas la « province rebelle » de Taïwan. Enfin, le 1er octobre 1979 l'ouverture au public du site de l'armée d'argile de Qin Shin Huangdi fut assurée lors du trentième anniversaire de la fondation de la République populaire de Chine.

 


Les régimes totalitaires ne sont pas les seuls à avoir utilisé l'archéologie à des fins géopolitiques. Au Proche-Orient, la fondation et la consolidation d'Israël furent l'occasion de mettre en œuvre de telles pratiques. À ce propos, Moshé Dayan qui fut le Chef d'État Major puis le Ministre de la Défense d'Israël était aussi un archéologue renommé. Au fur et à mesure des conquêtes militaires de l'État hébreu le général Dayan organisait systématiquement des fouilles archéologiques. Il s'agissait pour lui de rechercher les traces antiques de la présence juive en Palestine et de justifier l'extension des frontières israéliennes. Tout comme Moshé Dayan, Yigaël Yadin fut un officier supérieur qui s'engagea en politique.

 

Fils de l'archéologue Eleazar Sukenik, il fut un spécialiste en archéologie biblique. Il fouilla notamment la forteresse de Massada, haut lieu de la résistance juive contre la domination romaine. L'organisation de fouilles sur ce site ne pouvait avoir qu'une dimension politique à un moment où Israël se sentait menacé par les États arabes limitrophes. Aujourd'hui encore, certains chantiers archéologiques sous-tendent des objectifs politiques. Avec l'appui des autorités, la fondation Elad poursuit des fouilles à Jérusalem Est dans le but de mettre au jour la cité du roi David. Ces activités offrent un prétexte pour exproprier des Palestiniens afin de favoriser l'implantation de populations juives dans la partie orientale de Jérusalem.

 

Dans un autre registre, la destruction du patrimoine archéologique peut également servir des intérêts de nature idéologique et géopolitique. Depuis la fin de la Guerre froide, la multiplication des conflits intra-étatiques a généré une prolifération d'actes de ce type. Pendant la guerre de Yougoslavie (1991-1995), des lieux de culte et des éléments architecturaux témoignant d'un passé multi-culturel furent détruits dans le cadre de stratégies d'épuration ethnique. En 1993, en Bosnie-Herzégovine, la destruction du « Vieux-Pont » ottoman de Mostar par les forces du HVO illustrait une volonté de marquer une rupture physique et symbolique entre les quartiers croates et bosniaques. De même, en mars 2001, la démolition des statues de Bouddha de Bamiyan en Afghanistan, était destinée à affirmer la supériorité de la vision de l'islam adoptée par les talibans et à marquer leur emprise sur le territoire peuplé par les chiites hazaras.

 

Cette démarche d'effacement d'un passé pré-islamique ou considéré comme non-orthodoxe par les islamistes se retrouve dans les destructions qu'ils ont été perpétrées à Tombouctou, en 2012, ainsi qu'en Syrie et en Irak. Somme toute, ces actions médiatisées de dévastation de vestiges archéologiques relèvent d'une stratégie de guerre de l'information dirigée contre la communauté internationale.

 

 

 


La communauté internationale au défi de la protection du patrimoine archéologique

 

 

Devant l'ampleur des destructions provoquées par la Seconde Guerre mondiale, la communauté internationale a développé au lendemain de ce conflit des textes juridiques destinés à protéger le patrimoine culturel. Ainsi, la convention de La Haye et son protocole de 1954 garantissent la protection des biens culturels en temps de guerre tant contre les actes de destruction et de détérioration que de pillage et de spoliation. En outre, ces textes ont été renforcés en 1977 par les protocoles additionnels I et II aux conventions de Genève de 1949 (PA I art.53 et PA II art. 16) :

 

Sans préjudice des dispositions de la Convention de la Haye du 14 mai 1954 pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé et d'autres instruments internationaux pertinents, il est interdit : a) de commettre tout acte d'hostilité dirigé contre les monuments historiques, les œuvres d'art ou les lieux de culte qui constituent le patrimoine culturel ou spirituel des peuples ; b) d'utiliser ces biens à l'appui de l'effort militaire ; c) de faire de ces biens l'objet de représailles» (PA I art. 53)

 

 

Sous réserve des dispositions de la Convention de la Haye du 14 mai 1954 pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé, il est interdit de commettre tout acte d'hostilité dirigé contre les monuments historiques, les œuvres d'art ou les lieux de culte qui constituent le patrimoine culturel ou spirituel des peuples et de les utiliser à l'appui de l'effort militaire» (PA II art. 16)

 

 

En sus de ces dispositions propres à des situations de guerre, la Convention de l'UNESCO de 1970 est centrée sur la lutte contre le trafic d'objets d'art en temps de paix. En effet, le trafic d'antiquités constitue une ressource financière importante pour les groupes armés et les organisations mafieuses. Au Cambodge, la guerre civile (1967-1975) a engendré un vaste trafic qui a permis de financer la guérilla des Khmers rouges. Toutefois, le pillage des sites historiques de la civilisation khmère ne s'est pas terminé après le renversement de la dictature de Pol Pot. Aujourd'hui, la faiblesse de l’État cambodgien le rend toujours vulnérable au trafic international d'antiquités.

 

En Amérique latine, des mouvements révolutionnaires comme le Sentier Lumineux et des organisations criminelles se servent du trafic d'artefacts pré-hispaniques comme d'un complément financier  au narco-trafic. En 2011, un rapport de l'UNESCO produit à l'occasion du 40ème anniversaire de la Convention de 1970 relevait sur ce sujet « qu'un avion en provenance du Mexique, qui transportait quelque 150 kilos de marijuana du Chiapas et des antiquités précolombiennes, a atterri dans le Colorado. Au Guatemala et au Belize, des avions secrets ont été découverts alors qu'ils acheminaient de la cocaïne et des stèles mayas à Miami et dans d'autres villes américaines»

           

Bien que tous les continents soient concernés par le trafic illicite de biens culturels, le Moyen-Orient est particulièrement touché par ce phénomène. Le terrorisme, les révolutions, les guerres civiles et les ingérences étrangères sont autant d'éléments qui ont contribué à déstabiliser durablement la région. Dans ces conditions, les musées et les sites archéologiques d'Irak, de Syrie, de Libye, du Yémen, d'Afghanistan et même d'Égypte ont fait l'objet de pillages. En 2011, l'UNESCO estimait que le marché noir des œuvres d'art générait entre 2 et 6 milliards d'euros. Actuellement, les experts de la CIA affirment que le trafic d'antiquités aurait rapporté 6 à 8 milliards de dollars à l'État islamique.

 

De ce fait, la vente illicite d'objets archéologiques de Syrie et d'Irak serait la seconde source de financement de ce groupe terroriste. En conséquence, de par ses dimensions et son impact, ce commerce illégal d'œuvres d'art est devenu une question de sécurité internationale. Pour rappel, le 12 février 2015, le Conseil de Sécurité de l'ONU adoptait à l'unanimité la résolution 2199 dans laquelle les grandes puissances condamnaient les dommages exercés à l'encontre du patrimoine irako-syrien et notaient que :

 

 

[…] l'EIIL, le Front el-Nosra et d'autres individus, groupes, sociétés ou entités associés à Al-Qaïda génèrent des revenus en procédant, directement ou indirectement au pillage et à la contrebande d'objets appartenant au patrimoine culturel provenant de sites archéologiques, de musées, de bibliothèques, d'archives et d'autres sites en Syrie et en Irak, qui sont ensuite utilisés pour financer leurs efforts de recrutement ou pour améliorer leurs capacités opérationnelles d'organiser et de mener des attentats terroristes»


 

Par ailleurs, après le saccage du musée de Mossoul par l'EIIL le 26 février 2015, Irina Bokova, la directrice générale de l'UNESCO affirmait que « cette attaque est bien plus qu'une tragédie culturelle, c'est également une question de sécurité parce qu'elle alimente le sectarisme, l'extrémisme violent et le conflit en Irak ». Face à ces activités criminelles, la communauté internationale dispose de plusieurs moyens de lutte. Parce qu'elles violent le droit international, les stratégies de « nettoyage culturel » peuvent donner lieu à des inculpations pour « crime de guerre ».

 

 

À ce propos, le 26 septembre 2015, Fatou Bensouda, le procureur de la Cour pénale internationale annonçait le transfèrement d'un suspect déféré devant cette juridiction pour la destruction d'édifices historiques et religieux. Ahmad Al Faqi Al Mahdi est effectivement soupçonné d'avoir joué un rôle actif dans la démolition des mausolées de Tombouctou. Au-delà de sa portée symbolique, ce cas doit mettre fin au sentiment d'impunité qui prévaut à l'égard du pillage et de la destruction du patrimoine culturel. De l'aveu même de Madame Bokova, il ouvre donc « […] des perspectives nouvelles pour la protection du patrimoine et des valeurs partagés de l’humanité »

 

Dans une démarche plus traditionnelle, la coopération policière demeure primordiale pour contrecarrer le trafic illicite d'œuvres d'arts. De ce point de vue, INTERPOL est aux avant-postes de ce combat car cette organisation possède une base de données qui recense plus de 45 000 œuvres volées à travers le monde. Loin d'être réservées aux service de police et de douanes, une partie de cette base de données a été rendue accessible au grand public pour favoriser l'identification d'objets en provenance d'Afghanistan, de Syrie et d'Irak. Ainsi, sur les 15 000 antiquités qui ont été volées lors du pillage du Grand Musée de Bagdad en 2003, plus de 7000 ont été récupérées à travers le monde (2015).

 

Néanmoins, l'identification des œuvres volées demeure difficile quand elles proviennent de fouilles illégales, car elles n'apparaissent dans aucun recensement. En outre, malgré une importante coopération internationale, les réseaux de trafiquants profitent des failles juridiques qui existent dans certains pays. De facto, le système de certificats d'exportation instauré par la Convention de l'UNESCO de 1970 montre donc ses limites si le marché de l'art est mal contrôlé.

 

L'Occident aussi touché par les fraudes

 


Loin de concerner les seuls pays en développement (Jordanie, Liban, Turquie, Dubaï, Hong-Kong, Russie...), ce phénomène touche aussi l'Occident qui constitue le principal débouché commercial du marché noir des biens culturels. Si les musées publics et les grandes maisons de ventes font preuve de vigilance, de nombreux artefacts archéologiques se retrouvent, via la complicité de négociants peu scrupuleux, sur les marchés parallèles de Londres, Paris, Bruxelles, Berlin, ou New York. A ce propos, en juillet 2015, le quotidien britannique The Guardian relevait la présence d'objets probablement pillés sur les sites de Nimroud et Palmyre chez des antiquaires de Londres.

 

Le trafic des « antiquités de sang » ne pourrait donc pas exister sans la demande de riches collectionneurs occidentaux. Dans ces conditions, la proposition faite par François Hollande devant l'UNESCO de créer un droit d'asile pour les œuvres menacées ne sera pas suffisante. Un durcissement et une convergence des législations des pays concernés par le trafic de biens culturels s'avère donc nécessaire. Cependant, au regard de l'échec de la Convention Unidroit du 24 juin 1995, une telle démarche risque de se heurter aux réticences de la plupart des États, si ceux-ci jugent que des dispositions trop restrictives entravent le marché de l'art.


Souvent manipulée pour servir des ambitions géopolitiques, l'archéologie paie aujourd'hui un lourd tribut. Si l'actualité se fait l'écho des destructions perpétrées par des groupes armés islamistes à l'encontre de vestiges antiques, la communauté internationale n'est pourtant pas exempte de tout reproche. En effet, l'impuissance des États à endiguer le trafic d'antiquités contribue à faire de cette activité l'une des principales sources d'enrichissement des organisations mafieuses et terroristes. Désormais, de par son ampleur, ce commerce illicite destiné à de riches collectionneurs est donc devenu une question prioritaire, en matière de sécurité internationale. Pourtant, malgré l'urgence de la situation, des considérations économiques liées au marché de l'art pourraient limiter toute volonté de renforcer la législation internationale sur la protection des biens culturels.

 

Alexandre Depont

 


Pour aller plus loin

 

 

CENTLIVRES Pierre, « Vie, mort et survie des Bouddhas de Bamiyan », Livraisons d'Histoire de l'Architecture, n° 17 - 2009 - Émotions patrimoniales I. http://lha.revues.org

 

CHELLAL Ismaël, « Les historiens-soldats du Haut-Karabagh », Milkipress, Avril 2013                 www.milkipress.fr

 

DUVILLARD Laureline, « La Suisse contre le trafic illicite des biens culturels », La tribune de Genève, 14 février 2013. www.tdg.ch

 

GORSHENINA Svetlana et RAPIN Claude, « De l’archéologie russo-soviétique en situation coloniale à l’archéologie post-coloniale en Asie centrale », Les nouvelles de l'Archéologie – n° 126, 2011. http://nda.revues.org

 

GRIBAUMONT Gwennaëlle, « La Belgique plaque tournante du trafic d'œuvre d'art ? », Le Vif, 21 juin 2011. www.levif.be

 

NEUER Jean-Jacques, « Le trafic international d'objets d'art », Le Huffington Post, 22 août 2012. www.huffingtonpost.fr

 

OLIVIER Laurent, PRIEUR Jérôme, Nos ancêtres les Germains : Les archéologues Français et Allemands au service du nazisme, Tallandier, collection texto, 2015

 

PAYOT Jean-Pierre, La guerre des ruines, archéologie et géopolitique, Choiseul, Paris, 2010

 

RIBADEAU DUMAS Laurent, « Le combat contre les trafics d’antiquités en Irak et en Syrie: un vœu pieux ? », Geopolis / France TV Info, 15 décembre 2014. http://geopolis.francetvinfo.fr/

 

SAND Schlomo, Comment le peuple juif fut inventé, Flammarion, Collection Champs Essais, 2010

 

SHABI Rachel, « Looted in Syria – and sold in London: the British antiques shops dealing in artefacts smuggled by Isis », The Gardian, 3 July 2015. http://www.theguardian.com


 

 


 

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